Les Etats fédéraux sont scindés en sections de Freezone où vivent et évoluent les citoyens de première classe, des no man’s land traversés par des réseaux de transports souterrains ou aériens, cibles privilégiées d’outlaws et de pirates nomades qui viennent ensuite faire du business en redzone.
Les transports en commun : généralisés en freezone et circulent en hoovering silencieux. Les transports longue distance interétatiquse s’effectuent part spaceship sur des lignes de moyennes altitudes. Les oléoducs [appellation incorrecte, le pétrole n’existe plus] souterrains sont censés ne transporter que des matières premières, des composants et des énergies.
Les technocrates : possesseurs d’une grande partie des richesses (5% de la population contrôlant 90% des richesses mondiales)
Les citoyens : les habitants lambda, des classes moyennes qui travaillent et amassent les richesses pour atteindre toujours plus de satisfaction et sont, selon la proximité du but, plus ou moins enclins aux pensées humanitaires et aux réflexions idéologiques. Mais plus encore, ils sont ceux qui peuvent vriller et abandonner. Si la société libre ne les rattrape pas avec les moyens d’encadrement psychiques disponibles, qui sait ce qui peut leur arriver ?
Ils avaient toujours à leur service au moins un délinquant effectuant son temps de servage domestique pour réparer le tort causé à la société, et n’allez pas croire que le serf pouvait agir à sa guise. Il n’avait que ses mots, mais ses actions étaient contrôlées au millimètre près par le collier de servage qui notait toutes les données.
